Alors que sa mission s’achèvera le 23 avril prochain après la tenue de la présidentielle de la FIF, la Président du CONOR est revenu sur ses un mois passé avec les Eléphants où elle a affirmé qu’il y avait des clans.
Ça fait la Une
Arrivé à la tête de la Fédération Ivoirienne de Football suite au blocus électoral de 2020, Mariam Dao Gabala s’apprête à rendre son tablier. La Présidente du CONOR était l’invité de l’émission face à la Côte d’Ivoire sur Life TV. Au cours de cette émission, la Sénatrice a recommandé aux prochains dirigeants de la faitière que le prochain sélectionneur des Eléphants soit ferme et ait de la poigne
« Il faut qu’on est un sélectionneur qui soit ferme mais en même temps psychologue. L’une des recommandations que je souhaiterais faire pour l’équipe nationale c’est qu’on est un psychologue. J’ai vécu avec ces garçons pendants plus d’un mois. Vous ne pouvez pas être un mois avec les pressions et être livrez à vous avec simplement les résultats qu’on attend de vous […] Il faut quelqu’un qui ait de la poigne et qui puisse parler aux enfants de façon direct. »
Mariam Dao Gabala s’est également prononcé sur l’ambiance qui régnait dans le groupe lors de la dernière Coupe d’Afrique des Nations. La Présidente du CONOR-FIF a fait savoir qu’il existait des clans au sein de l’équipe.
« Quand nous sommes arrivés, il y avait des divisions au sein de l'équipe. Il y a des joueurs qui se mettaient à table et qui ne se parlaient jamais et à la fin on s’est retrouvé avec des joueurs qui n’avaient jamais parler depuis qu’ils étaient en sélection qui éclataient de rire. Ça veut dire qu’il y’a un élément de cohésion qui commençait et cet élément il faut le maintenir en leur donnant un objectif commun. Je pense que quand il y a la cohésion les choses vont très bien »,
a-t-elle déclaré.
