Présent lors de la cérémonie de lancement des championnats locaux dans les locaux de la FIF ce mercredi 24 mars, le Président de la section football de l’ASEC en a profité pour accorder un point de presse dans lequel il a abordé plusieurs sujets notamment les ambitions du club pour cette nouvelle saison.
Ça fait la Une
L’ASEC Mimosas défiera Bouaké FC dans le cadre de la première journée du championnat de Côte d’Ivoire ce samedi 27 mars 2021 du côté du stade Robert Champroux. Le club jaune et noir s’est énormément renforcé notamment sur le plan offensif avec les arrivées d’Anicet Oura et Zakri Yannick.
Président de la section football du club, Baky Koné a fait l’état des lieux avant le début du nouvel exercice. Pour l’ancien attaquant du club, il va falloir attendre le résultat final du championnat pour savoir si l’ASEC est prête ou pas.
« On dira que nous sommes prêts quand à la fin de la saison on aura gagné le titre. On se prépare depuis un moment pour entamer ce championnat qui sera court. Mais il faut pouvoir bien entamer déjà cette phase de poules. Cela fait un an et deux semaines qu’on n’a pas eu de championnat et les jeunes attendent ce moment. »
En ce qui concerne les garanties pour débuter le championnat dans les conditions optimales, le Président de la section football a jugé préférable que le PCA Roger Ouégnin était la personne indiquée à parler de ça.
« Je suis juste le président de la section football, je représente Me Roger Ouégnin qui est mieux placé pour répondre à cette question. »
Au niveau de la formule instaurée cette saison à savoir un championnat à deux poules, Baky Koné a indiqué qu’il va falloir disputer ces matchs comme des rencontres de poules.
« Ce sont des matchs qu’on va devoir jouer comme des matchs de coupe tout simplement. Il faut être prêt, donner tout et prendre le maximum de points à chaque match. »
En plus de Bouaké, l’ASEC affrontera le Stella, le Racing, la SOA, l’AS Tanda et SOL FC. Le Président de la section football des Mimos est conscient que ces équipes seront difficile à manœuvrer donc il en revient à sa formation d’être également à son top niveau afin d’éviter d’éventuelles surprises à chaque rencontre.
« Il n’y a pas que Bouaké qui est capable de créer des problèmes à l’ASEC. Toutes les équipes, quand elles rencontrent l’ASEC Mimosas, jouent leur va-tout et se donnent à 110 %. La preuve, la journée suivante après les matches contre l’ASEC, elles sont toutes à la ramasse. L’ASEC reste l’ASEC, c’est un très gros gibier contre qui tout le monde veut grappiller le plus de points possibles. Il nous revient donc de faire le nécessaire pour pouvoir prendre des points et avancer »,
a-t-il conclu.
